El pasado 24 de abril se celebró en Madrid, el I Encuentro Summorum Pontificum, organizado por el Instituto Cristo Rey Sumo Sacerdote. Monseñor don Juan Miguel Ferrer, Subsecretario de la Congregación para el Culto Divino, hizo un interesante recorrido por la historia de la liturgia, y subrayó que el Papa no ha hecho el motu proprio solo para los lugares donde hay demanda de la Misa tradicional, sino para enriquecimiento de toda la Iglesia.

Le 24 avril dernier s'est tenu à Madrid le premier Colloque Summorum Pontificum, organisé par l'Institut du Christ Roi Souverain Prêtre ; Mgr Juan Miguel Ferrer, Sous-secrétaire de la Congrégation pour le Culte Divin, fit une intéressante intervention sur l'histoire de la liturgie, et souligna que le Pape n'a pas promulgué le motu proprio seulement pour ceux qui demandent la Messe traditionnelle, mais bien pour enrichir toute l'Eglise.

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Monseñor Nicola Bux, de la Oficina de las celebraciones Litúrgicas del Santo Padre, afirmó que ahora no es posible que las dos formas del Rito Romano puedan unirse en una, pero defendió la mutua influencia benéfica entre ambas. Y abogó por recuperar, en el Novus Ordo, la plegaria eucarística en voz baja y la orientación versus Deum del celebrante. También alabó el deseo del Santo Padre de no hacer imposiciones en liturgia, sino caminar pacientemente.

Mgr Nicola Bux, de l'Office des Célébrations Liturgiques du Souverain Pontife, affirma l'impossibilité pour les deux formes du Rite Romain de s'unir en un seul, mais souligna la mutuelle influence bénéfique entre les deux formes. Il souhaita par exemple que dans le Nouvel Ordo on retrouve la prière eucharistique à voix basse et l'orientation versus Deum du célébrant. Il rappela le désir du Saint-Père de ne pas imposer les changements liturgiques, mais plutôt d'avancer avec patience.

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El liturgista don Gabriel Díaz Patri, afirmó que quienes acusan a la liturgia tradicional de esteticismo, también defienden otra estética de diferente cuño. Planteó la necesidad de definir lo que es la partipación actuosa de los fieles en la liturgia, que no consiste en un trasiego en el altar, y de mantener los signos y símbolos litúrgicos como tales, y no acabar con ellos con una acumulación de explicaciones evidentes e innecesarias.

Le liturgiste don Gabriel Diaz Patri, affirma que ceux qui accusent la liturgie traditionnelle d'esthétisme, sont les premiers à le défendre d'une autre manière. Il rappela la nécessité de définir ce qu'est la participation active des fidèles dans la liturgie, et qu'elle ne consiste pas à envahir l'autel et qu'il faut maintenir les signes et les symboles tels qu'ils sont sans multiplier les explications inopportunes.

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El encuentro terminó con la celebración de la Santa Misa Solemne, según la Forma Extraordinaria, en el Tercer Monasterio de la Visitación, de las Madres Salesas, en Madrid, España.

Le Colloque se termina par la célébration de la Messe solennelle selon la Forme Extraordinaire par M. le chanoine Raoul Olazábal, Prieur de notre Maison Sainte Thérèse de Jésus (Avenida de America, 46 - 2°D — E-28028 Madrid), avec M. le chanoine Frédéric Goupil (ICRSP) faisant office de diacre et don Gabriel Diaz Patri faisant office de sous-diacre. Sept autres prêtres assistaient au chœur à la sainte Messe.