Pensée du Saint Curé d’Ars 27 octobre 2009 « Si nous passons au deuxième, qui nous défend toute sorte de jurements, de blasphèmes, d'imprécations et de malédictions, et toute sorte de colère, en nous recommandant la douceur, la charité, et la prévenance pour tous ceux qui nous environnent : dites-moi, M.F., qui sont ceux qui sont le plus heureux, ou de ceux qui se livrent à tous ces excès de colère, d'emportements et de malédictions, ou de ceux qui, dans tout ce qu'ils font ou disent, montrent cette égalité d'humeur, cette bonté ? […/…] Nous voyons donc que ce commandement ne contribue qu'à nous rendre heureux nous-mêmes et ceux qui sont avec nous. » Sermon pour le 12ème dimanche après la Pentecôte, Sur le premier Commandement de Dieu. |
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